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The GRASS plugin provides access to GRASS GIS databases and functionalities (see GRASS-PROJECT in Bibliographie). This includes visualizing GRASS raster and vector layers, digitizing vector layers, editing vector attributes, creating new vector layers and analysing GRASS 2-D and 3-D data with more than 400 GRASS modules.
In this section, we’ll introduce the plugin functionalities and give some examples of managing and working with GRASS data. The following main features are provided with the toolbar menu when you start the GRASS plugin, as described in section sec_starting_grass:
To use GRASS functionalities and/or visualize GRASS vector and raster layers in QGIS, you must select and load the GRASS plugin with the Plugin Manager. Therefore, go to the menu Plugins ‣ Manage Plugins, select GRASS and click [OK].
You can now start loading raster and vector layers from an existing GRASS LOCATION (see section sec_load_grassdata). Or, you can create a new GRASS LOCATION with QGIS (see section Créer un nouveau SECTEUR GRASS) and import some raster and vector data (see section Importer des données dans un SECTEUR GRASS) for further analysis with the GRASS Toolbox (see section La Boîte à outils GRASS).
With the GRASS plugin, you can load vector or raster layers using the appropriate button on the toolbar menu. As an example, we will use the QGIS Alaska dataset (see section Échantillon de données). It includes a small sample GRASS LOCATION with three vector layers and one raster elevation map.
As you see, it is very simple to load GRASS raster and vector layers in QGIS. See the following sections for editing GRASS data and creating a new LOCATION. More sample GRASS LOCATIONs are available at the GRASS website at http://grass.osgeo.org/download/sample-data/.
Astuce
Charger des données GRASS
If you have problems loading data or QGIS terminates abnormally, check to make sure you have loaded the GRASS plugin properly as described in section Lancer l’extension GRASS.
GRASS data are stored in a directory referred to as GISDBASE. This directory, often called grassdata, must be created before you start working with the GRASS plugin in QGIS. Within this directory, the GRASS GIS data are organized by projects stored in subdirectories called LOCATIONs. Each LOCATION is defined by its coordinate system, map projection and geographical boundaries. Each LOCATION can have several MAPSETs (subdirectories of the LOCATION) that are used to subdivide the project into different topics or subregions, or as workspaces for individual team members (see Neteler & Mitasova 2008 in Bibliographie). In order to analyze vector and raster layers with GRASS modules, you must import them into a GRASS LOCATION. (This is not strictly true – with the GRASS modules r.external and v.external you can create read-only links to external GDAL/OGR-supported datasets without importing them. But because this is not the usual way for beginners to work with GRASS, this functionality will not be described here.)
Figure GRASS location 1:
As an example, here is how the sample GRASS LOCATION alaska, which is projected in Albers Equal Area projection with unit feet was created for the QGIS sample dataset. This sample GRASS LOCATION alaska will be used for all examples and exercises in the following GRASS-related sections. It is useful to download and install the dataset on your computer (see Échantillon de données).
Sélectionnez un répertoire existant de base de données GRASS (GISDBASE) grassdata ou créez en un pour le nouveau SECTEUR avec le gestionnaire de fichiers de votre ordinateur. Cliquez sur le bouton [Suivant].
Entrez un nom pour le SECTEUR – nous avons utilisé ‘alaska’ – et cliquez sur le bouton [Suivant].
Saisissez 2964 dans le Filtre pour sélectionner la projection.
Cliquez sur [Suivant].
Cliquez sur [Suivant].
Nous avons aussi besoin de définir un Jeu de données dans notre nouveau SECTEUR (étape indispensable lors de la création d’un nouveau SECTEUR). Vous pouvez l’appeler comme vous le souhaitez - nous utiliserons ‘demo’. GRASS crée automatiquement un Jeu de données spécial appelé PERMANENT, conçu pour stocker les données essentielles du projet, son emprise spatiale par défaut et la définition du système de coordonnées (voir Neteler & Mitasova 2008 Bibliographie).
Vérifiez le résumé pour vous assurez que tout est correct et cliquez sur [Terminer].
Le nouveau SECTEUR ‘alaska’ et les deux Jeux de données ‘démo’ et ‘PERMANENT’ sont créés. Le jeu de données ouvert à ce moment est ‘démo’, tel que vous l’avez défini.
Notez que certains outils de la barre d’outils GRASS qui n’étaient pas accessibles le sont maintenant.
Figure GRASS location 2:
If that seemed like a lot of steps, it’s really not all that bad and a very quick way to create a LOCATION. The LOCATION ‘alaska’ is now ready for data import (see section Importer des données dans un SECTEUR GRASS). You can also use the already-existing vector and raster data in the sample GRASS LOCATION ‘alaska’, included in the QGIS ‘Alaska’ dataset Échantillon de données, and move on to section Le modèle vecteur de GRASS.
A user has write access only to a GRASS MAPSET he or she created. This means that besides access to your own MAPSET, you can read maps in other users’ MAPSETs (and they can read yours), but you can modify or remove only the maps in your own MAPSET.
Tous les Jeux de données incluent un fichier WIND qui stocke l’emprise et la résolution raster courante (voir Neteler & Mitasova 2008 dans Bibliographie et section L’outil région GRASS).
Sélectionnez le répertoire grassdata de la base de données GRASS (GISDBASE) qui contient déjà le SECTEUR ‘alaska’ et où nous voulons ajouter un autre SECTEUR nommé ‘test’.
Cliquez sur [Suivant].
Entrez le texte du nom pour le nouveau Jeu de données. En dessous, dans l’assistant, vous pouvez voir une liste des Jeux de données et de leurs propriétaires.
Cliquez sur [Suivant], vérifiez le résumé pour vous assurer qu’il est correct et cliquez sur [Terminer].
This section gives an example of how to import raster and vector data into the ‘alaska’ GRASS LOCATION provided by the QGIS ‘Alaska’ dataset. Therefore, we use the landcover raster map landcover.img and the vector GML file lakes.gml from the QGIS ‘Alaska’ dataset (see Échantillon de données).
Pour importer la couche raster landcover.img, cliquez sur le module r.in.gdal dans l’onglet Arborescence des modules. Ce module GRASS vous permet d’importer les fichiers raster gérés par la librairie GDAL dans un SECTEUR GRASS. La fenêtre r.in.gdal apparaît.
Définissez landcover_grass comme nom de sortie pour le raster et cliquez sur [Lancer]. Dans l’onglet Rendu, vous voyez la commande GRASS en cours r.in.gdal -o input=/path/to/landcover.img output=landcover_grass.
Pour importer le fichier GML lakes.gml, cliquez sur le module v.in.ogr dans l’onglet Arborescence des modules. Ce module vous permet d’importer des données vectorielles gérées par OGR dans un SECTEUR GRASS. La fenêtre v.in.ogr apparaît.
Définissez lakes_grass comme nom de sortie et cliquez sur [Lancer]. Vous n’avez pas besoin des autres options dans cet exemple. Dans l’onglet Rendu, vous voyez la commande GRASS en cours v.in.ogr -o dsn=/path/to/lakes.gml output=lakes\_grass.
It is important to understand the GRASS vector data model prior to digitizing.
In general, GRASS uses a topological vector model.
This means that areas are not represented as closed polygons, but by one or more boundaries. A boundary between two adjacent areas is digitized only once, and it is shared by both areas. Boundaries must be connected and closed without gaps. An area is identified (and labeled) by the centroid of the area.
Outre les limites et centroïdes, une couche vectorielle peut également contenir des points et des lignes. Tous ces éléments de géométrie peuvent être mélangés dans une couche vectorielle et seront représentés dans différentes ‘sous-couches’ dans une carte vectorielle GRASS. Ainsi, une couche GRASS n’est pas un vecteur ou un raster, mais un niveau à l’intérieur d’une couche vectorielle. Il est important de bien distinguer ceci (même s’il est possible de mélanger des éléments de géométries différentes, c’est inhabituel et même dans GRASS, on l’utilise dans des cas particuliers tel que l’analyse de réseau. Normalement, vous devriez stocker des éléments de géométries différentes dans des couches différentes).
Il est possible de stocker plusieurs ‘sous-couches’ dans une couche vectorielle. Par exemple, des champs, de la forêt et des lacs peuvent être stockés dans une couche vectorielle. Des forêts et des lacs adjacents partagent les mêmes limites, mais ils auront des tables attributaires différentes. Il est aussi possible de faire correspondre une table attributaire aux limites. Par exemple, la limite entre un lac et une forêt peut être une route qui peut avoir une table attributaire différente.
La ‘sous-couche’ est définie dans GRASS par un chiffre. Ce chiffre définit s’il y a plusieurs sous-couches à l’intérieur d’une couche vectorielle (par exemple, il définit s’il s’agit de lac ou de forêt). Pour l’instant, il s’agit d’un nombre, mais dans des versions futures GRASS pourra utiliser des noms pour les sous-couches dans l’interface utilisateur.
Attributes can be stored inside the GRASS LOCATION as dBase or SQLite3 or in external database tables, for example, PostgreSQL, MySQL, Oracle, etc.
Les données attributaires sont liées à la géométrie par le biais d’un champ ‘category’.
‘Category’ (clé, ID) est un entier attaché à la géométrie, et il est utilisé comme lien vers une colonne de clé dans la table de base de données.
Astuce
Apprendre le modèle vecteur de GRASS
Le meilleur moyen d’apprendre le modèle vecteur de GRASS et ses possibilités est de télécharger un des nombreux tutoriels GRASS où le modèle vecteur est décrit plus précisément. Voir http://grass.osgeo.org/documentation/manuals/ pour plus d’informations, livres et tutoriels dans différentes langues.
To create a new GRASS vector layer with the GRASS plugin, click the Create new GRASS vector toolbar icon. Enter a name in the text box, and you can start digitizing point, line or polygon geometries following the procedure described in section Numérisation et édition de couche vectorielle GRASS.
In GRASS, it is possible to organize all sorts of geometry types (point, line and area) in one layer, because GRASS uses a topological vector model, so you don’t need to select the geometry type when creating a new GRASS vector. This is different from shapefile creation with QGIS, because shapefiles use the Simple Feature vector model (see section Créer de nouvelles couches vecteur).
Astuce
Creating an attribute table for a new GRASS vector layer
If you want to assign attributes to your digitized geometry features, make sure to create an attribute table with columns before you start digitizing (see figure_grass_digitizing_5).
The digitizing tools for GRASS vector layers are accessed using the Edit GRASS vector layer icon on the toolbar. Make sure you have loaded a GRASS vector and it is the selected layer in the legend before clicking on the edit tool. Figure figure_grass_digitizing_2 shows the GRASS edit dialog that is displayed when you click on the edit tool. The tools and settings are discussed in the following sections.
Astuce
Numérisation de polygones dans GRASS
If you want to create a polygon in GRASS, you first digitize the boundary of the polygon, setting the mode to ‘No category’. Then you add a centroid (label point) into the closed boundary, setting the mode to ‘Next not used’. The reason for this is that a topological vector model links the attribute information of a polygon always to the centroid and not to the boundary.
Barre d’outils
In figure_grass_digitizing_1, you see the GRASS digitizing toolbar icons provided by the GRASS plugin. Table table_grass_digitizing_1 explains the available functionalities.
Figure GRASS digitizing 1:
Tableau Numérisation avec GRASS 1 : outils d’édition GRASS
Category Tab
The Category tab allows you to define the way in which the category values will be assigned to a new geometry element.
Figure GRASS digitizing 2:
Astuce
Creating an additional GRASS ‘layer’ with |qg|
If you would like to add more layers to your dataset, just add a new number in the ‘Field (layer)’ entry box and press return. In the Table tab, you can create your new table connected to your new layer.
Settings Tab
The Settings tab allows you to set the snapping in screen pixels. The threshold defines at what distance new points or line ends are snapped to existing nodes. This helps to prevent gaps or dangles between boundaries. The default is set to 10 pixels.
Figure GRASS digitizing 3:
Symbology Tab
The Symbology tab allows you to view and set symbology and color settings for various geometry types and their topological status (e.g., closed / opened boundary).
Figure GRASS digitizing 4:
Table Tab
The Table tab provides information about the database table for a given ‘layer’. Here, you can add new columns to an existing attribute table, or create a new database table for a new GRASS vector layer (see section Création d’une nouvelle couche vectorielle GRASS).
Figure GRASS digitizing 5:
Astuce
Droits d’édition GRASS
Vous devez être propriétaire du Jeu de données que vous voulez éditer. Il est impossible de modifier des informations d’un Jeu de données qui n’est pas à vous, même si vous avez des droits en écriture.
La définition d’une région (définir une emprise spatiale de travail) dans GRASS est très importante pour travailler avec des couches rasters. Le travail d’analyse vecteur n’est, par défaut, pas limitée à une région définie. Mais, tous les rasters nouvellement créés auront l’emprise spatiale et la résolution de la région GRASS en cours d’utilisation, indépendamment de leur emprise et résolution d’origine. La région courante GRASS est stockée dans le fichier $LOCATION/$MAPSET/WIND, et celui-ci définit les limites Nord, Sud, Est et Ouest, le nombre de lignes et de colonnes ainsi que la résolution spatiale horizontale et verticale.
It is possible to switch on and off the visualization of the GRASS region in the QGIS canvas using the Display current GRASS region button.
With the Edit current GRASS region icon, you can open a dialog to change the current region and the symbology of the GRASS region rectangle in the QGIS canvas. Type in the new region bounds and resolution, and click [OK]. The dialog also allows you to select a new region interactively with your mouse on the QGIS canvas. Therefore, click with the left mouse button in the QGIS canvas, open a rectangle, close it using the left mouse button again and click [OK].
Le module GRASS g.region propose un grand nombre de paramètres pour définir de façon appropriée les limites et la résolution d’une région pour faire de l’analyse raster. Vous pouvez vous servir de ces paramètres dans la boîte à outils GRASS décrite dans la section La Boîte à outils GRASS.
The Open GRASS Tools box provides GRASS module functionalities to work with data inside a selected GRASS LOCATION and MAPSET. To use the GRASS Toolbox you need to open a LOCATION and MAPSET that you have write permission for (usually granted, if you created the MAPSET). This is necessary, because new raster or vector layers created during analysis need to be written to the currently selected LOCATION and MAPSET.
Figure GRASS Toolbox 1:
La console de la Boîte à outils GRASS vous donne accès à pratiquement tous les modules GRASS (plus de 300) en ligne de commande. Afin d’offrir un environnement de travail plus agréable, environ 200 d’entre eux sont disponibles via l’interface graphique de la Boîte à outils GRASS.
A complete list of GRASS modules available in the graphical Toolbox in QGIS version 2.8 is available in the GRASS wiki at http://grass.osgeo.org/wiki/GRASS-QGIS_relevant_module_list.
Il est aussi possible de personnaliser le contenu de la boîte à outils GRASS. Ceci est décrit dans la section Paramètrer la boîte à outils GRASS.
Comme indiqué sur la figure figure_grass_toolbox_1, vous pouvez chercher le module GRASS approprié en utilisant l’onglet Arborescence des modules ou en utilisant l’onglet Liste des Modules pour faire une recherche.
Lorsque vous cliquez sur un module, un nouvel onglet apparaît proposant trois sous-onglets : Options, Rendu et Manuel.
Options
The Options tab provides a simplified module dialog where you can usually select a raster or vector layer visualized in the QGIS canvas and enter further module-specific parameters to run the module.
Figure GRASS module 1:
The provided module parameters are often not complete to keep the dialog clear. If you want to use further module parameters and flags, you need to start the GRASS shell and run the module in the command line.
A new feature since QGIS 1.8 is the support for a Show Advanced Options button below the simplified module dialog in the Options tab. At the moment, it is only added to the module v.in.ascii as an example of use, but it will probably be part of more or all modules in the GRASS Toolbox in future versions of QGIS. This allows you to use the complete GRASS module options without the need to switch to the GRASS shell.
Rendu
Figure GRASS module 2:
L’onglet Rendu fournit des informations sur l’état de sortie du module. Quand vous cliquez sur le bouton [Lancer], le module passe sur l’onglet Rendu et vous voyez les informations sur le processus en cours. Si tout se passe bien, vous verrez finalement le message Terminé avec succès.
Manuel
Figure GRASS module 3:
L’onglet Manuel montre la page HTML d’aide du module GRASS. Vous pouvez vous en servir pour voir les autres paramètres du module et pour avoir une connaissance plus approfondie de l’objet du module. À la fin de chaque page d’aide d’un module, vous avez des liens vers Main Help index (index principal), Thematic.index (index par thème) et Full.index (index complet). Ces liens vous donnent les mêmes informations que si vous utilisiez directement g.manual.
Astuce
Afficher les résultats immédiatement
Si vous voulez voir immédiatement dans votre fenêtre carte le résultat des calculs du module, vous pouvez utiliser le bouton ‘Vue’ au bas de l’onglet du module.
Les exemples suivants décrivent les possibilités de certains modules GRASS.
Le premier exemple permet de créer une couche vectorielle de courbes de niveau à partir d’un modèle numérique de terrain (MNT). Ici, nous considérerons que le SECTEUR Alaska a été installé comme décrit dans la section Importer des données dans un SECTEUR GRASS.
Dans la liste des outils double-cliquez sur Raster -> Gestion de surface -> Générer des lignes vectorielles de contours.
Saisisez dans le champ Nom de la couche vectorielle en sortie, le nom ctour_100.
Cliquer sur [Lancer] pour lancer le traitement. Attendez quelques instants que le message Terminé avec succès apparaisse à l’écran. Cliquez enfin sur [Vue] puis [Fermer].
Comme il s’agit d’une grande région, cela prendra un certain temps à s’afficher. Une fois l’affichage terminé, vous pouvez ouvrir la fenêtre de propriétés de la couche pour changer la couleur des courbes de niveau afin qu’elles apparaissent clairement au dessus de la couche raster d’élévation comme décrit dans Fenêtre Propriétés d’une couche vecteur.
Zoomez sur une petite région montagneuse du centre de l’Alaska. Avec un zoom important, vous constaterez que les courbes de niveau sont constituées de lignes brisées avec des angles vifs. GRASS offre la possibilité de généraliser les cartes vecteurs à l’aide de l’outil v.generalize, tout en conservant leur forme générale. L’outil utilise différents algorithmes ayant différents objectifs. Certains de ces algorithmes (par exemple : Douglas Peucker et Réduction de Vertex) simplifient les lignes en supprimant des sommets. La couche simplifiée se chargera plus rapidement. Cette commande est utile lorsque vous avez une couche vectorielle très détaillée et que vous créez une carte à petite échelle où les détails ne sont donc pas nécessaires.
Astuce
L’outil de simplification
Note that the QGIS fTools plugin has a Simplify geometries ‣ tool that works just like the GRASS v.generalize Douglas-Peuker algorithm.
Cependant, le but de cet exemple est différent. Les courbes de niveau créées avec r.contour ont des angles vifs qui doivent être lissés. Parmi les algorithmes de v.generalize, il y a l’algorithme de Chaiken qui fait justement ça (comme Hermite splines). Gardez à l’esprit que ces algorithmes peuvent ajouter des sommets supplémentaires au vecteur, l’amenant à se charger encore plus lentement.
Ouvrez la Boîte à outils GRASS et double cliquez sur Vecteur -> Développer la carte -> Généralisation. Cliquez alors sur le module v.generalize pour ouvrir sa fenêtre d’options.
rifier que la couche vectorielle ‘ctour_100’ apparait dans le champ Nom de la couche vectorielle en entrée.
Dans la liste des algorithmes choisissez Chaiken. Laisser les autres options par défaut et descendez à la dernière ligne pour donner le nom de la couche d’information à créer : Nom de la couche vectorielle en sortie ‘ctour_100_smooth’, et cliquez sur [Lancer].
Cela peut prendre plusieurs minutes. Lorsque le texte Terminé avec succès apparait, cliquez sur le bouton [Vue] puis sur [Fermer].
Vous pouvez changer la couleur de cette couche vectorielle pour qu’elle apparaisse clairement sur le raster et qu’elle contraste aussi avec la couche de départ.Vous remarquerez que les nouvelles courbes de niveau ont des angles plus arrondis que l’original tout en restant fidèle à la forme globale d’origine.
Figure GRASS module 4:
Astuce
Autres utilisations de r.contour
La procédure décrite ci-dessus peut être utilisée dans d’autres cas similaires. Si vous disposez d’une couche d’informations raster représentant des précipitations, par exemple, vous pouvez utiliser la même méthode pour créer des isohyètes (lignes reliant des points d’égales quantités de précipitations).
Différentes méthodes sont utilisées pour afficher les modèles numérique de terrain et donner un effet 3D au carte. L’utilisation de courbes de niveau comme décrit ci-dessus est un des moyens souvent utilisés pour produire des cartes topographiques. Un autre moyen de rendre cet effet 3D est d’utiliser l’ombrage. L’ombrage est créé à partir du modèle numérique de terrain (MNT) en calculant d’abord les pentes et les expositions puis en simulant la position du soleil dans le ciel ce qui donne à chaque cellule une valeur de réflectance. Les pentes éclairées par le soleil sont plus claires et les pentes à l’abri du soleil sont plus sombres.
Commencez par ouvrir la couche raster gtopo30. Ouvrez la Boîte à outils GRASS et dans la catégorie Raster double cliquez sur Analyse spatiale ‣ Analyse de terrain.
Cliquez ensuite sur r.shaded.relief pour lancer le module.
Saisissez gtopo30_shade comme nom pour la nouvelle couche d’ombrage et cliquez sur le bouton [Lancer].
Quand le calcul est terminé, ajoutez le raster d’ombrage à la fenêtre carte. Normalement, il devrait s’afficher en niveau de gris.
Pour voir les deux couches d’informations ombrage et gtopo30 en même temps, placez la couche ombrage sous la couche gtopo30 dans le gestionnaire de couches et ouvrez la fenêtre Propriétés de la couche gtopo30, allez sur l’onglet Transparence et fixez la transparence à environ 25%.
Vous devriez maintenant avoir la couche gtopo30 en couleur et en transparence, affiché au dessus de la couche d’ombrage en niveau de gris. Pour bien visualiser l’effet d’ombrage, décochez puis recochez la couche gtopo30_shade dans la légende.
Utiliser la console GRASS
The GRASS plugin in QGIS is designed for users who are new to GRASS and not familiar with all the modules and options. As such, some modules in the Toolbox do not show all the options available, and some modules do not appear at all. The GRASS shell (or console) gives the user access to those additional GRASS modules that do not appear in the Toolbox tree, and also to some additional options to the modules that are in the Toolbox with the simplest default parameters. This example demonstrates the use of an additional option in the r.shaded.relief module that was shown above.
Figure GRASS module 5:
Le module r.shaded.relief possède un paramètre zmult qui multiplie la valeur de l’altitude (exprimé dans la même unité que les coordonnées X - Y) ce qui a pour effet d’accentuer le relief.
Ouvrez le raster gtopo30 comme ci-dessus, lancez la Boîte à outils GRASS et ouvrez la console GRASS. Dans la console, entrez la ligne suivante r.shaded.relief map=gtopo30 shade=gtopo30_shade2 azimuth=315 zmult=3 et pressez [Entrée].
Comme expliqué ci-dessus, placez le raster d’ombrage sous le raster gtopo30 puis vérifiez la transparence du raster gtopo30. Vous devriez constater que le relief apparaît plus marqué qu’avec le premier raster d’ombrage.
Figure GRASS module 6:
L’exemple suivant comment un module GRASS peut aggréger des données raster et ajouter des colonnes de statistiques pour chaque polygone d’une couche vectorielle.
Encore une fois, nous allons utiliser le jeu de données Alaska. Référez vous à Importer des données dans un SECTEUR GRASS pour importer les shapefiles contenus dans le répetoire shapefiles dans GRASS.
Un étape intermédiaire est nécessaire : des centroïdes doivent importés afin d’avoir une couche GRASS vecteur complète (qui inclue les contours et les centroïdes).
Dans la Boîte à outils choisissez Vecteur -> Gestion des entités et ouvrez le module v.centroids.
Entrez ‘forest_areas’ comme nom de couche en sortie et lancez le module.
Réouvrez la Boîte à outils GRASS et ouvrez Vecteur -> Mise à jour vectorielle via d’autres cartes.
Cliquez sur le module v.rast.stats. Saisissez gtopo30 et forest_areas.
Un seul paramètre additionnel est requis : Entrez elev pour le column prefix, et cliquez sur le bouton [Lancer]. C’est un opération lourde qui peut durer longtemps (jusqu’à deux heures).
Pour finir, ouvrez la table attributaire de forest_areas, et vérifiez que plusieurs nouvelles colonnes ont étés ajoutées dont elev_min, elev_max, elev_mean, etc., pour chaque polygone de forêt.
Another useful feature inside the GRASS Toolbox is the GRASS LOCATION browser. In figure_grass_module_7, you can see the current working LOCATION with its MAPSETs.
In the left browser windows, you can browse through all MAPSETs inside the current LOCATION. The right browser window shows some meta-information for selected raster or vector layers (e.g., resolution, bounding box, data source, connected attribute table for vector data, and a command history).
Figure GRASS module 7:
The toolbar inside the Browser tab offers the following tools to manage the selected LOCATION:
The Rename selected map and Delete selected map only work with maps inside your currently selected MAPSET. All other tools also work with raster and vector layers in another MAPSET.
Pratiquement tous les modules GRASS peuvent être ajoutés à la Boîte à outils. Une interface XML est fournie pour analyser les fichiers XML très simples qui configurent l’apparence et les paramètres des modules dans la boîte à outils.
Un exemple de fichier XML pour le module v.buffer (v.buffer.qgm) est donné ci-dessous :
<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
<!DOCTYPE qgisgrassmodule SYSTEM "http://mrcc.com/qgisgrassmodule.dtd">
<qgisgrassmodule label="Vector buffer" module="v.buffer">
<option key="input" typeoption="type" layeroption="layer" />
<option key="buffer"/>
<option key="output" />
</qgisgrassmodule>
The parser reads this definition and creates a new tab inside the Toolbox when you select the module. A more detailed description for adding new modules, changing a module’s group, etc., can be found on the QGIS wiki at http://hub.qgis.org/projects/quantum-gis/wiki/Adding_New_Tools_to_the_GRASS_Toolbox.