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Génère un VRT (set virtuel de données) qui est une mosaïque de la liste en entrée des rasters supportés par GDAL. Avec une mosaïque vous pouvez fusionner plusieurs fichiers raster. L’algorithme est dérivé de l’utilitaire buildvrt de GDAL .
Couches raster supportées par GDAL.
La résolution de sortie de la mosaïque. Par défaut la résolution moyenne des fichiers raster sera utilisée.
Options :
0 — moyen
1 — plus haut
2 — plus bas
Par défaut : 0
Avec ‘Faux’ vous pouvez spécifier que chaque fichier raster soit placé dans une bande séparée empilée dans la bande du VRT.
Par défaut : Vrai
Permet aux bandes de sortie d’avoir différentes projections dérivées de la projection des couches raster en entrée.
Par défaut : Faux
Fichier raster en sortie.
processing.runalg('gdalogr:buildvirtualraster', input, resolution, separate, proj_difference, output)
Fusionne des fichiers raster de façon simple. Vous pouvez ici utiliser la table de pseudo-couleurs d’un raster en entrée et définir le type du raster en sortie. Toutes les images doivent être dans le même système de coordonnées. L’algorithme est dérivé de l’utilitaire fusion de GDAL .
Couches raster en entrée.
La table de pseudo-couleurs de la première couche sera utilisée pour la mise en couleur.
Par défaut : Faux
Si ‘Vrai’ est sélectionné, chaque fichier en entrée sera placé dans une bande empilée séparée.
Par défaut : Faux
Définit le type du fichier raster de sortie. Par défaut il s’agit de ‘Float32’.
Options :
Par défaut : 5
Couche raster en sortie.
processing.runalg('gdalogr:merge', input, pct, separate, rtype, output)
Pour améliorer les temps de rendu des couches raster, des aperçus (pyramides) peuvent être créés. Les aperçus sont des copies basse résolution des données que QGIS utilise en fonction du niveau de zoom. L’algorithme est dérivé de l’utilitaire addo de GDAL .
Couche raster en entrée.
Définit le nombre de niveaux d’aperçus calculés à partir de la résolution originale de la couche raster en entrée. Par défaut 4 niveaux sont pris en compte.
Par défaut : 2 4 8 16
Enlève les aperçus existants dans le raster. Par défaut ceux-ci ne sont pas effacés.
Par défaut : Faux
Calcule les aperçus avec une méthode de ré-échantillonnage donnée.
Options :
0 — la plus proche
1 — moyenne
2 — gaussienne
3 — cubique
4 — mp moyen
5 — mag/phase moyen
Par défaut : 0
Les aperçus peuvent être enregistrés en interne, ou être séparés en tant que fichiers images GTiff ou ERDAS. Par défaut les aperçus sont enregistrés dans le raster en sortie.
Options :
0 — Interne (si possible)
1 — Externe (GTiff .ovr)
2 — Externe (ERDAS Imagine .aux)
Par défaut : 0
Couche raster en sortie avec les aperçus.
processing.runalg('gdalogr:overviews', input, levels, clean, resampling_method, format)
Le programme gdalinfo fournit des informations diverses sur les sets de données raster supportés par GDAL.
Couche raster en entrée
N’imprime pas la liste des points de contrôle au sol. Ceci est utile pour des sets de données qui ont énormément de points de contrôles, tels que AVHRR L1B ou MODIS HDF4, qui en contiennent des milliers.
Par défaut : Faux
N’imprime pas les métadonnées. Certains sets de données peuvent contenir beaucoup de texte de métadonnées.
Par défaut : Faux
En sortie, les informations sur le raster
processing.runalg('gdalorg:rasterinfo', input, nogcp, nometadata, output)
Cet outil génère un shapefile ayant un enregistrement pour chaque fichier raster en entrée, un attribut contenant le nom du fichier, et une géométrie de polygone englobant le raster. Cette sortie peut être utilisée par MapServer en tant qu’index de tuiles de raster.
Les fichiers raster en entrée. Plusieurs fichiers sont peuvent être sélectionnés.
En option.
Le nom du champ en sortie qui contiendra le chemin d’accès/localisation des rasters indexés.
Par défaut : localisation
Seuls les fichiers ayant la même référence de projection que celle des fichiers déjà insérés dans l’index de tuile seront insérés. Par défaut aucune vérification n’est faite et toutes les entrées sont acceptées.
Par défaut : Faux
Le nom du fichier en sortie à créer/compléter. Le shapefile par défaut sera créé s’il n’existe pas déjà, sinon les données seront ajoutées au fichier existant.
processing.runalg('gdalogr:tileindex', input, field_name, proj_difference, output)